prénoms : Sarah et Jale. ₪ nom : Wells. ₪ âge : Dix-huit ans. ₪ date de naissance : le treize mai 1995. ₪ lieu de naissance : Antalya, en Turquie ₪ pouvoir : Manipulation des rêves, trois barres. ₪ situation amoureuse : Célibataire, pour ne pas dire instable. ₪ groupe : Membre actif des we are powerful. ₪ avatar : Phoebe Tonkin.

₪ PARLE NOUS UN PEU DE TOI.
orgueilleuse ₪ réfléchie ₪ manipulatrice ₪ instinctive ₪ hypocrite ₪ adorable ₪ menteuse ₪ ambitieuse ₪ fourbe ₪ égoïste ₪ sensible ₪ impatiente ₪ responsable ₪ insolente ₪ sa passion : la danse, peu importe le style, du moment qu'elle bouge ₪ elle jure comme un charretier ₪ elle use de son temps libre pour s'entraîner à manipuler son pouvoir ₪ elle fait des cauchemars chaque nuit, paradoxalement ₪ elle aurait rêvé être danseuse professionnelle comme sa mère ₪ quand elle est énervée, elle parle toute seule en turc ₪ elle déteste Aislingtown ₪ elle est une maniaque de la propreté.


₪ DIS NOUS, COMMENT AS TU RÉAGI FACE A LA DISPARITION DES ADULTES ?
Mes parents sont morts depuis plus de cinq ans déjà. J'ai aucune famille à Aislingbourg. Autant dire que cette disparition est loin de me toucher le plus. J'étais tout de même... frustrée sur le coup. Mais à la fête, j'étais un peu énervée, c'est sûr, parce que le gars avec qui j'étais ce soir là a aussi fait partie de cette saloperie de blague... Je l'ai plaqué dès que je l'ai revu. Je ne supporte pas ce genre de chose, on ne me la fait pas, à moi. Le lendemain, en voyant l'éclair blanc, j'ai un peu plus paniqué. Mais j'ai essayé de ne rien en montrer... Jusqu'à ce que je réalise que les adultes avaient réellement disparu. J'ai essayé de trouver une raison logique. Aucune ne m'est venu à l'esprit. J'ai fouillé les maisons. Rien. Que nenni. Plus personne. Les bébés étaient abandonnés. Plus d'électricité. Des ados en pleurs, paniqués. Comment résister à la tentation de profiter de la situation ? Le soir même, j'ai participé à une réunions, avec quelques autres qui étaient décidés à prendre le contrôle de la situation. Et comme je ne suis pas du genre a attendre sans rien faire, je me suis vachement impliqué dans le groupe. J'ai commencé à découvrir mes pouvoirs. Au début j'avais peur, et j'ai gardé ça pour moi... Mais maintenant je commence à un peu mieux les connaitre et à les utiliser. J'ai du prendre sur moi pour ne pas finir comme certains et faire la fête nuit et jour. A présent j'ai pris confiance en moi et j'ai largement dépassé le stade de la peur et des enfantillages. Je suis prête à tout pour tirer avantage de la situation. 

₪ PARLE MOI UN PEU DE TON POUVOIR EN DÉTAIL, SA PUISSANCE, COMMENT TU LE MAÎTRISES ? PAS TRÈS BIEN POUR LE MOMENT J'IMAGINE. DÉCRIS LE NOUS ÉGALEMENT S'IL TE PLAIT, COMMENT FONCTIONNE-T-IL, QUE FAIT-IL ? (facultatif, juste pour les personnages à pouvoir).
J'ai le pouvoir de m'introduire dans les rêves d'autrui et de les manipuler à ma guise. Je ne m'en suis rendue compte dès la première nuit, en étant près d'un camarade assoupi. J'avais fait nuit blanche ce jour là, et, en fixant d'un regard absent mon ami, je me suis retrouvée dans ses rêves. Pas longtemps, juste deux secondes. Mais ça m'a suffit pour comprendre qu'il y avait quelque chose qui clochait. Depuis, je passe mes nuits à arpenter les rues Aislingtown pour tester mon pouvoir sur des rêveurs. J'essaie aussi de trouver un moyen d'en profiter, de voir ce que ça pourrait m'apporter... Surtout que j'ai 3 barres. C'est quelque chose... Et j'avoue que s'il y a un moyen pour que je puisse l'utiliser pour nuire à Noah, je ne m'en priverait pas. Mais pour l'instant j'essaie de rallonger le temps que je passe dans les rêves... Je ne sais pas encore si je pourrais bien les manipuler. Cependant, j'ai tout le temps devant moi.

“ Je veux ça. ” La fillette pointait du doigt avec détermination la poupée barbie sur l’étalage. Son ton était sans appel. Hava Şahin, épouse Wells, leva les yeux au ciel. Ca y est, Sarah commençait à prendre les mauvaises habitudes de son père. Vouloir toujours tout, tout de suite, maintenant… C’était bien John tout craché. Hava fit semblant de ne rien entendre et passa son chemin, trainant sa fille de six ans par la main derrière elle. Non pas qu’elle n’avait pas les moyens de lui acheter son jouet. Elle voulait juste lui montrer qu’elle ne pouvait pas avoir le carrosse, les petits chevaux, la gameboy, la boîte de legos, le service à thé en plastique et la barbie. En tous cas, pas en même temps... Son père la gâtait beaucoup trop. Elle avait espéré que cette promenade au marché éloignerait un peu Sarah de toutes les babioles que son père lui avait offertes pour son anniversaire. Mais visiblement, la petite fille n’en n’avait jamais assez. Les couleurs vermeilles et orangées des rues rayonnaient, les senteurs épicées des saveurs orientales chatouillaient les narines. Le marché aux puces grouillait de monde… Sarah tira sur la tunique de sa mère et l’interrompit dans ses pensées. “ Je veux cette robe. ” Tapait-elle du pied. “ Sarah, je t’en ai acheté deux hier… ” Râla Hava. “ Mais aucune aujourd’hui ! Lütfen eğer*... Juste celle-là. ” Hava continua d’avancer mais Sarah restait sur place, décidée à ne plus bouger tant qu’elle n’aurait pas la jolie robe rouge. Elle gardait le regard fixé sur le vêtement. Sa mère soupira et finalement céda. On était bien incapable de refuser quelque chose à Sarah. Elle finissait toujours par l’obtenir. D’après Hava, c’était à cause de son mari, John Wells, un irlandais qu’elle avait rencontré alors qu’il était en voyage d’affaire à Antalya. Ca avait été le coup de foudre pour la brune et pour la ville, et il s’était installé ici par amour, laissant tout derrière lui. Il avait largement les moyens de se permettre ça. La petite Sarah fut le fruit de leur union britano-turque. Elle avait les deux cultures, elle parlait les deux langues. Elle vivait à Antalya mais venait chaque été en Irlande voir ses grands parents paternels. Mais en dehors de cette richesse culturelle, la petite était pourrie jusqu’à l’os. Une vraie enfant gâtée. Et ce n’était pas forcément une bonne chose...
*s’il te plait


Sarah dansait. Encore et encore. Elle ne s’arrêtait pas, elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas. C’était la seule chose qui lui permettait de respirer, d’évacuer sa colère. Quand elle avait un chagrin, quand elle avait une peine, quand elle était vexée, elle tournoyait. Elle s’élançait, elle virevoltait. Hava était danseuse professionnelle. Elle avait fait installer une salle de danse dans leur villa en bord de mer, pour le plus grand bonheur de sa fille unique. Hava lui avait enseigné tout ce qu’elle savait dans ce domaine : danse contemporaine, classique, zumba, danse orientale... C’était bien la seule chose qu’elle avait hérité d’elle, en plus de ses légers traits orientaux. Car oui, souvent amenée à voyager pour des comédies musicales ou ballets en tous genres, Hava n’avait pas trop le temps de s’occuper de l’éducation de Sarah. Ni John d’ailleurs, qui alternait entre Aislingtown et Antalya. Sarah était donc dans l’obligation d’avoir une gouvernante, ce qu’elle détestait. Elle lui menait la vie dure, elle faisait tout pour qu’elle démissionne. Ce n’était pas la première, en réalité. Déjà plus d’une vingtaine de nourrices s’étaient succédées dans la demeure Wells, démissionnant à cause des crasses que leur faisaient Sarah, ou épuisées par son sale caractère d’enfant gâtée. Ca lui plaisait, de faire la difficile. Elle aimait bien montrer qu’elle avait son mot à dire, et détestait qu’on la sous estime.  Au fond, tout ce qu’elle espérait, c’était qu’on la remarque. Tout ce qu’elle désirait, c’était un peu d’attention de la part de ses parents dont leur absence lui faisait un peu plus mal qu’elle ne l’aurait souhaité.


I guess it's time I run far, far away; find comfort in pain,
All pleasure's the same: it just keeps me from trouble.

“Ils sont partis... ” Sarah, alors âgée de treize ans, ne daigna même pas de regarder Pirra, sa dernière gouvernante en date. Elle avait tenu un peu plus longtemps que les autres, celle-là. Trois mois et des poussières, mais elle semblait tenir bon. Sarah, elle, continuait de brosser ses cheveux devant sa glace. Elle avait rendez-vous avec le voisin, et elle n’avait pas de temps à perdre avec des devinettes. “Sarah... écoute-moi.. ” Le ton désespéré et emplit de tristesse de Pirra la fit réagir. Elle se tourna vers sa gouvernante, inquiète. “De quoi parles-tu ? ” Pirra la prit dans ses bras ; Sarah ne tenta même pas de se dégager de son étreinte. Elle avait un mauvais pressentiment. Pirra tenta de calmer les tremblements de Sarah. Elle lui murmura avec difficulté, le visage mouillé de larmes. “Il y a eu cet avion qui s’est noyé dans la mer Egée... ” Sarah hurla. Elle repoussa violemment Pirra. Elle nia les faits. Les larmes coulèrent. Elle éclata en sanglots. Ses parents avaient prit leur vol il y a une heure pour la Grèce. Ils n’atteindraient jamais Athènes. Sarah courut le plus vite possible, elle s’enferma dans la salle de danse. Elle passa une journée entière, sans repos, à crier de désespoir, à pleurer, à se lamenter à l’intérieur. Quand elle épuisa son stock de larmes, elle se releva, faiblement, en titubant. Elle alluma la chaîne Hi-Fi. Et là, elle se défoula, elle évacua sa douleur dans des gestes amples et désespérés. Elle dansa. Elle ne s’était jamais sentie aussi seule, aussi nue. Aussi fragile.

Sarah loupa quelques mois de cours. Elle eut besoin de ce laps de temps-là pour se remettre du décès de ses parents. Désormais orpheline, sans réelle famille en Turquie, elle fut envoyée dans la demeure de ses grands parents Wells au fin fond de la campagne Irlandaise. La bourgade la plus proche était Aislingtown. C’était à présent là-bas que Sarah irait étudier. Elle passa son collège, puis son lycée dans cette petite ville, faisant chaque jour l’aller-retour entre la campagne et Aislingtown. Elle avait une vie tranquille. Elle était devenue de plus en plus irritable, de plus en plus détestable. Elle s’était forgée une carapace, elle s’était crée un masque pour cacher sa douleur. Elle s’était fait une belle réputation au lycée, et devint parmi les plus populaires. Beaucoup de garçons la voulaient, beaucoup de filles l’enviaient. Sarah jouait avec les sentiments, elle manipulait à sa guise les gens qui la voyaient comme une fille sage. Ca avait toujours été son truc, tourner la situation à son avantage. Si elle détestait quelqu’un, elle ne le montrait pas. Mais si l’occasion se présentait de blesser ses ennemis, elle ne s’en privait pas. Bien qu’elle fasse toujours dans la subtilité.


But you only need the light when it’s burning low
Only miss the sun when it starts to snow
Only know you love him when you let him go

Elle sortit avec un certain Noah Forbes. Cette histoire n’était pas censé la marquer plus qu’une autre mais pourtant... La manière par laquelle il la plaqua était quelque peu particulière, et surtout innexplicable. Elle ne comprit jamais pourquoi. Mais ce qui était certain en revanche, c’était qu’elle ne l’avait pas avalé, cette rupture. Sarah était très rancunière, et ça, Noah l’apprit à ses dépends. Et puis, comme si ça n’avait pas suffit, ce n’était qu’en le voyant se rhabiller et partir en vitesse qu’elle comprit qu’elle l’aimait vraiment.

“Je comprends pas. ” Sarah était assise au bar le plus proche, une choppe de bierre dans une main. Elle se sentait nulle, ridicule. Pourquoi le fait qu’il l’avait plaqué l’affectait autant ? “Je suis pas moche, je suis populaire, pas conne non plus. Je comprends pas. J’en avais envie,  et lui aussi en avait envie. ” Le gars assis à côté d’elle la regardait perplexe. Elle avait un peu trop bu, elle commençait à délirer, elle lui racontait sa vie. C’était la première fois qu’il la voyait dans le coin, et pourtant c’était un habitué. “Et là, ce bâtard, il s’est excusé, il m’a dit qu’il voulait pas de moi et s’est cassé. Vous trouvez ça logique ?! Genre je suis pas assez attirante, pas assez... Rho je sais plus.  ” Sarah snifa un rail. Elle leva les yeux vers l’inconnu. “Et vous, vous me trouvez comment ? J’avais tellement envie de lui. Ca devait être notre première fois à tous les deux. Je voulais que ce soit lui. Mais maintenant, ça n’a plus aucune importance. ” L’homme esquissa un faible sourire. Sarah se leva et lui prit le bras. “Venez, on va boire, danser, oublier. Peut-être que ça me changera les idées. ” Sans plus réfléchir, elle pencha sa tête pour l’embrasser. L’homme répondit à son baiser. Elle ne savait plus ce qu’elle faisait. Tout ce qu’elle voulait, c’était l’oublier, lui, ce salaud de Forbes. Ils se rendirent dans la boite de nuit la plus proche. Sarah se frotta contre lui toute la soirée, dansant plus sensuellement que jamais et cela finit inéluctablement par une partie de jambe en l’air... la première de la jeune fille.


Sarah parlait d’un ton neutre, nue et allongée dans un lit près de l’inconnu avec lequel elle venait de passer la nuit. “Je veux son corps mutilé, ensanglanté, accroché à un poteau. Je veux lui arracher les globes oculaire, les faire frire à la poêle. Je veux lui crever les tympans avec un cure dent. Je veux lui arracher la langue, faire en sorte à ce qu’il ne puisse plus assure sa descendance, couper ses bijoux de famille avec un couteau de charcuterie et les donner à manger au bétail. Je veux... ” L’homme, réalisant ce que sa partenaire d’un soir venait de dire, se releva précipitamment. “Mais t’es malade ou quoi ?!” Il se rhabillait et semblait assez mal à l’aise. “Tu veux quoi ? Sa mort ? C’est juste un ex... ” Sarah le fusilla du regard et continua d’un air absent : “Je veux qu’il souffre. Au moins autant que je souffre. ” Sarah se leva et revêtit la même robe noire que la veille. Elle s’arrangea les cheveux face à la glace, se débarbouilla le visage puis s’en alla, sans même demander son nom à l’homme.

Sarah était prête à tout, absolument tout, pour détruire la vie de celui qui lui avait brisé le coeur. Noah allait enfin comprendre que s’il avait prit Sarah pour une pauvre fille, le genre de fille qu’on utilise puis jette, il s’était mit le doigt dans l’oeil.


La disparition des parents Un évènement qui a laissé une Sarah sur le cul. Mais il ne l’a pas affecté autant qu’il ne l’aurait du. Après tout, elle avait déjà fait le deuil de ses parents, elle. Elle a essayé par tous les moyens de comprendre ce qui s’est passé avant de réaliser que si elle voulait s’en sortir, elle devait agir en conséquence. Il ne lui fallait pas beaucoup de temps pour comprendre où était le camp de gagnants.

L’apparition des dons. Sarah en avait un qui était plus puissant que la moyenne, et ça elle le savait. Elle fut l’une des premières à recruter les adolescents à pouvoirs. Maintenant, elle essaye de maitriser le sien. Elle s’entraîne jour et nuit. Elle espère bien qu’il lui servira à règner, et à assouvir sa vengeance qui lui pèse depuis si longtemps. Sarah n’a plus besoin d’amour. Elle a bien trop souffert par le passé. Elle est aveuglée par le pouvoir. C’est tout ce qu’il lui reste, après tout.

pseudo : Lily (Maïlys) ₪ âge : bientôt mon tour de disparaître   ₪ ton avis sur le forum : j'adore le concept! Depuis le temps que j'attends un forum inspiré de gone, j'ai sauté sur l'occasion. J'ai hâte de voir ce que les futures intrigues nous réservent   ₪ où as-tu trouvé trapped ? via bazzart ₪ double compte ? nope ₪ un dernier mot très cher ? je veux et j'exige 'mon temple au nutella et mon strip tease monsieur Noah si ce n'est pas trop demandé (a) ₪ oh et une dernière chose, peux tu remplir ça s'il te plait ?

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Phoebe Tonkin [color=#993333]₪[/color] [i]Sarah J. Wells[/i]

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Manipulation des rêves [color=#993333]₪[/color] [i]Sarah J. Wells[/i]